Avec la Chlorella, j’ai amélioré la qualité de mon sommeil, retrouvé la forme et surtout mes allergies ont diminué
Dès le début des prises de la Chlorella, la qualité de mon sommeil s’est améliorée et je me trouvais plus en forme pendant la journée.
J’ai revu mon allergologue la semaine dernière, un an et demi après ma dernière visite. Après avoir réalisé sa batterie de tests, à ma grande surprise, il m’a conseillé de réduire la dose de corticoïdes.
Je vous dois ces quelques lignes, puisque j’ai commencé à prendre la chlorelle de façon régulière après avoir entendu votre présentation. C’est l’argument sur la réduction des phénomènes inflammatoires qui a retenu mon attention.
Je suis en effet accablé depuis des années par une bronchite chronique, avec tous les symptômes qui l’accompagnent : toux grasse persistante, et suivant les périodes de l’année, insuffisance respiratoire, asthme et forte sensibilité aux infections avec prise d’antibiotiques. Alors que, autrefois, ces symptômes n’apparaissaient que pendant la période pollinique, ils se sont progressivement étendus à toute l’année.
A 58 ans, j’avais l’impression de ne plus avoir de répit, et il m’arrivait de me demander jusqu’où l’aggravation de la maladie allait me conduire!
La médecine traditionnelle m’a certainement aidé. J’ai, au cours des années, réalisé deux traitements de désensibilisation, l’un par injection, l’autre par voie orale, qui ont réduit fortement les signes de l’allergie au pollen de graminées. Puis, la bronchite s’aggravant, j’ai du accepter de prendre des corticoïdes inhalés, sous différentes formes. Il y a un an et demi, mon allergologue m’avait conseillé, au vu des résultats de sa batterie de tests, de doubler la dose et j’ai suivi son conseil.
J’ai commencé la prise de chlorelle en juillet dernier, il y a donc 10 mois. Dans un premier temps, j’ai pris 10 comprimés d’Echlorial le matin à jeun. Je n’ai pas remarqué d’amélioration particulière sur le critère qui m’intéressait. Par contre, la qualité de mon sommeil s’est améliorée et je me trouvais plus en forme pendant la journée.
L’automne dernier n’a pas été faste: trois infections successives soignées par trois traitements aux antibiotiques et janvier s’annonçait sur le même mode, quand j’ai compris qu’il me fallait soigner la sinusite qui était à l’origine de l’infection des bronches. Sur les conseils d’un ami médecin, je l’ai fait de façon simple par instillation nasale d’eau salée à 1% de concentration (liquide physiologique) et d’un dérivé soufré. Pour la première fois, j’arrivais à vaincre une infection sans l’aide d’antibiotiques. La chlorelle semblait fonctionner !
Pendant toute la période qui a suivi, j’ai essayé d’optimiser la prise des microalgues. J’ai constaté que la prise pouvait se faire à jeun le matin, ou en une, deux ou trois fois pendant la journée ou avant, pendant ou après le repas. Aucune importance, le résultat était le même. J’ai aussi joué sur les quantités et en suis aujourd’hui à trois prises par jour de 5 comprimés après les repas, soit au total 15 comprimés ou 4,5 grammes par jour.
J’ai revu mon allergologue la semaine dernière, un an et demi après ma dernière visite. Après avoir réalisé sa batterie de tests, à ma grande surprise, il m’a conseillé de réduire la dose de corticoïdes. Je n’ai pas sur le moment pensé aux propriétés de l’algue et ai oublié de lui expliquer ma démarche. Mais je reconnais que je me sens mieux. J’ai même repris mes séances de jogging que j’avais remplacées il y a quelques années par de la marche. J’attends maintenant l’arrivée de la période de pollinisation des graminées et m’apprête, si nécessaire, à augmenter encore la dose pendant ces 3 à 4 semaines qui me sont les plus pénibles.
J’espère que ce témoignage sera utile à d’autres personnes qui subissent les mêmes ennuis. Un conseil encore pour eux : ne pas abandonner la prise de chlorelle si cela ne fonctionne pas tout de suite et essayer d’optimiser comme je l’ai fait. Il ne s’agit pas d’un médicament, mais d’une plante, un aliment qui possède simplement des propriétés particulières. Il ne guérit pas, mais il soulage.
Au-delà de la dose conseillée de 3 grammes par jour pour l’adulte, chacun doit l’adapter à son cas particulier. Et si l’Echlorial fonctionne pour la bronchite, qu’en est-il des autres maladies inflammatoires ?